Le pavillon du Butard

Au coeur de la forêt de fausses-reposes

Nous découvrons, pas un Palais

Mais un pavillon grandiose

Où on ne peut qu'avec envie y aller

Il est actuellement en voie de devenir l'acquisition

D'un propriétaire qui ne permettra peut-être plus

Qu'on s'y promène en admiration

Et que l'on se retrouve alors dépourvu

Des âmes sensibles à la beauté du site

Se sont réunis pour que cela n'arrive pas

Je m'approche alors et je visite

Ce lieu chargé d'Histoire là

Admiratif devant l'architecture conçue par un Ange

Du nom de Gabriel, il nous annonce

Que le berceau de ce bâtiment range

Des trésors auquel le coeur nul ne renonce

À l'intérieur, rapidement après le vestibule

On entre dans le splendide salon

Dans lequel on sent les rois qui circulent

Et les reflets des miroirs nous renvoient en rond

La lumière qui devient éternelle

Et où je puise cet nouvelle inspiration

Ne laissons pas filer cette merveille, belle

Continuons avec nos amis son exposition

Alexandre Bontemps