Les courants passent, circulent
Plus rien n'est comme avant dans les vestibules
Alors se tendent les perches
Il n'y en a pas lerche
Et les chiens se lèchent les babines
De voir le retour des colombines
Fini les tourments, les combines
On range les fusils, les carabines
Le meilleur d'avant revient
Et le pire d'aujourd'hui se retire
On garde les belles choses, on les retient
Les vilains, les truands on les vire
Oh non, on ne les tue point
Plus besoin de potences
Ils restent dans leurs coins
Avec leurs trouilles, leurs pénitences
Revenir à la source
Ne plus se soucier de la bourse
Vivre pleinement avec son prochain
Et oublier la pluie fine, le crachin
Réjouissances en puissance
C'est l'extase, les belles séances de l'aisance
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